Ce n’était donc pas une blague

Toujours bloqué au Chili, ce sont bien les mines antipersonnel et anti tank charriées par la rivière qui ont nécessité la fermeture des routes et donc de la frontière avec le Pérou. L’armée s’évertue à nettoyer le chemin (certaines mines ont été retrouvée à moins de 15m de la route principale). Depuis la plage on entend parfois les détonations, et l’une d’entre elle à carrément détruit une partie de la route.

Toute cette animation nous a vallu la visite en personne du ministre chilien de la Défense, dans cette petite bourgade d’Arica. les personnes bloquées sont condamnées à dormir dans le gymnase du collège et chaque matin, c’est l’invasion au terminal de bus international dans l’espoir d’une ouverture imminente (annoncée pour ce jeudi 22 février à 22H00 heure locale).

Du coup, j’ai décidé de partir en Bolivie, direction La Paz, avec son altitude, son mal aigu des montagnes, sa pollution et son insécurité. Mais aussi avec la WMDR (World Most Dangerous Road, plus connue sous le nom de DeathRoad), le marché des sorcières, et des paysages à coupé le souffle.

L’aventure continue…

route entre Chili et Pérou détruite pas les mines

On comprend vite pourquoi la frontière est fermée (source www.soychile.cl)

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