
C’est en tout cas mon objectif en commençant ce voyage. Partir de Ushuaïa (qui n’est pas la ville la plus australe du monde) pour arriver à je ne sais où. Quelques 9200 km à parcourir en un an.
Je suis parti de France en laissant tout derrière moi, maison, travail (là c’est plutôt lui qui m’a laissé), famille et amis (là par contre, merci facebook et internet).
Mon sac à dos (mochilla en espagnol) est ma seule maison. De fait le poids s’en ressent un peu. Une 20aine de kilos sur le dos et hop, direction l’Amérique du sud.
Le fil conducteur de mon voyage reste « La terre est bien trop belle« . Pour ceux qui me connaissent, vous le savez déjà, je suis un sociopathe doublé d’un vrai sale caractère. N’aimant guère les gens, ayant perdu foi en la nature humaine, j’ai donc décidé de me concentrer sur la beauté de la nature sous toutes ses formes. Je vais donc essayer de voir des paysages plus magnifiques, étranges, dangereux les uns que les autres, de vivre des choses qui font de la vie une aventure au propre comme au figuré.
Pour le reste, j’ai au fond de moi l’espoir que ce voyage me « RE-connecte » avec ce qu’il y a de bon en l’homme. Le monde de la pub m’en a éloigné autant que possible.
J’ai donc atteri le 18 novebre dernier à Buenos Aires…bonjour le décalage !
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Un vrai beau et courageux projet ce voyage. Que nous avons la chance de partager, si loin sois-tu par ce blog 🙂 merci l’artiste 😉 !!!
et, pour tout profond sociopathe que tu dis être, je dois reconnaître que la raison seconde de ce voyage fait peut-être de notre globe trotter le plus humain des asociaux que j’ai pu rencontrer 😉
Je te souhaite d’atteindre les buts avérés (ou non) de ce trip en terre extraordinaire…
Prends soin de toi et remplis toi les yeux et le cœur de tout ce que la terre offre de meilleur …
hasta pronto viajero